William Radet - mon blog...

Les opinions singulières d’un floulosophe                             sont floulosophiques avant de lui être personnelles

Je me réjouis de n’être rien face au désert bleu qui se découvre avec la fuite des nuages… Ils ont eu vent de ma présence… tout comme la mer s’est reculée à mon approche jusqu'à devenir silencieuse… jusqu’à devenir un trait sombre a peine arqué soutenu par une toile bise que j’embrasse d’un regard circulaire.

L’immensité n’est rien face au vide qui m’habite.

Ceux qui profitent de l'écrit sont ceux qui perçoivent le cri dans le frôlement de la page qui tourne...

Moi l’imparfait 
j’envie ton passé simple…

L’un part, fait… 
L’autre reste, simple...      et attend que ça se passe

J’entends que tout va de plus en plus mal                                                   et je m’étonne qu’à force d’aller mal tout soit toujours pareil

Il sont flous ses romans...

dit-elle en reposant le livre d’un auteur inclassable

dont elle ne parvenait pas à définir le trouble à la fois terrifiant et délicieux

provoqué par la musique étrange de ses mots...